L'étranger
Je suis un étranger au travail
Je travaille à des kilomètres
Etrange je suis
Des sergents de marine en bois secs
D'abricots me perdent
Richement par un puits de serpents qui bougent
Le feu des cendres à son tour
A vos ordres commandant
Une truie
L’étranger travaille pour l’étrange
Pendu aux tampons le gaz fermé à la lie
Le feu en cendres du four
Mime une surdité
Perdu aux tympans
Leurres vies nues
Des lyres animales
Des songes raisonnables
Des cimes au ras de la pluie
Des cris au dé
Des lyres amicales
Leurs vies nulles
Je suis cyprès au lit à tOrt
Je sOrs mon nez
Tel un banc Orné
Je me fais en Or né hOrs des cOrvées